CERNUNNOS






CERNUNNOS
Bronze, 2021
Edition sur 8 + 4 EA
288 x 115 x 75 cm
Expositions
en permanence : Monumenta, Galerie Bayart, Château du Plessis-Brion
05 > 10.2025 : Grandeur Nature II. L’esprit de la forêt, Château de Fontainebleau & Musée de la Chasse et de la Nature
06 > 09.2025 : Mythologies, Parcours en centre ville, L’Isle sur la Sorgue
07 > 09.2024 : Mythologies, parcours de sculptures dans la ville, Sables d’Olonne
05 > 10.2023 : Grandeur Nature, Château de Fontainebleau & Musée de la Chasse et de la Nature
07 > 09.2022 : Exode, Saint-Raphaël
CERNUNNOS
Figure prépondérante de la mythologie celtique, Cernunnos – signifiant « le cornu » occupe une place majeure au sein de la religion gallo-romaine. Cette divinité énigmatique, remontant à l’ère des mégalithes est liée à la symbolique du cerf dans les anciennes spiritualités. Malgré se forme anthropomorphe, ce dieu porte les bois de cet animal sacré sur sa tête.
Symbolisant la puissance masculine, associé à la fertilité, il est le maître de la faune, de la germination. Il incarne également cette dualité qui oppose le cycle perpétuel de la vie, et celle de la mort, celle des ténèbres à la lumière. Les bois de cervidés surmontant la tête de cette sculpture monumentale sont réputés pour tomber durant les longs mois d’hiver, pour ensuite repousser progressivement au printemps. Mourir, puis renaître, on retrouve ce caractère cyclique qui définit ce dieu, maître de la nature sauvage adoré par les païens.
CERNUNNOS
A key figure in Celtic mythology, Cernunnos - meaning ‘the horned one’ - occupies a major place in Gallo-Roman religion. This enigmatic deity dates back to the era of the megaliths and is linked to the symbolism of the stag in ancient spirituality. Despite his anthropomorphic form, this god wears the antlers of this sacred animal on his head.
Symbolising masculine power and associated with fertility, he is the master of fauna and germination. He also embodies the duality that opposes the perpetual cycle of life and death, of darkness and light. The antlers atop the head of this monumental sculpture are reputed to fall off during the long winter months, only to gradually grow back again in the spring. The cyclical nature of this god, master of the wilderness and worshipped by pagans, is reflected in his death and rebirth.